Renaissance
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Une renaissance, tel le phénix, d'une longue histoire oubliée.
 
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Percival Azarov, marchand professionnel

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Percival Azarov
Percival Azarov
Messages : 1
Date d'inscription : 05/01/2018
Percival Azarov, marchand professionnel  Vide
MessageSujet: Percival Azarov, marchand professionnel Percival Azarov, marchand professionnel  Icon_minitimeVen 5 Jan - 21:59


Percival
Azarov



Percival Azarov, marchand professionnel  Perciv10
Âge : 44 ans
Taille : 176 cm
Poids : 73 kg
Aime : Voyager, vendre ses marchandises
Déteste : Les imprévus
Rêve : Pouvoir mener sa vie en toute quiétude

Race : Humain
Classe : Artilleur
Sexe : Masculin
Village ou Ville de naissance : A la frontière de Katenka et Guilhem
Époque de naissance : Actuelle

Orientation Sexuelle : Hétérosexuel
Situation Amoureuse : Célibataire
Êtes-vous un Étudiant d'une école ? : Non
Si oui, laquel ? : /




Description Physique
Percival est un homme de taille moyenne, presque petit, et est assez trapu. Il a la particularité d'avoir des cheveux blancs et des favoris noirs. Il porte également des lunettes qui ont la singularité d'avoir des loupes sur le côté, amovibles.

Ses vêtements les plus significatifs, grâce auquels les gens le reconnaissent souvent, sont son long manteau bleu nuit agrémenté de dorure, avec ses gants noirs ou bleus, sa besace remplie d'objets mystérieux, ainsi que les revolvers qu'il porte à sa ceinture, bien que ceux-ci soit souvent caché par son manteau.Lorsqu'il l'enlève, on peut alors voir qu'il porte une chemise et un veston sous celui-ci.

Là est la description phyisique la plus simple qui soit. Pourraient également être abordé la manière qu'il a d'hausser le sourcil gauche (et exclusivement celui-ci) lorsqu'un élément lui échappe ou le perturbe, ou encore sa manie de passer son doigt sous son nez. Le fait que quand il réfléchit, il se retrouve généralement à se gratter la tempe ou les favoris, voir à se passer la main dans les cheveux ou encore son toc qui consiste à remonter ses lunettes qu'il s'évertue à ne pas resserrer pour une raison de lui seule connue.




Description Psychologique
Il n'y a guère moyen de savoir ce qui se cache sous cette caboche aux cheveux monochromes. Tantôt souriant, tantôt obscur et maussade, son humeur semble aussi flexible qu'un métamorphe.

On peut cependant dire de lui que de manière générale il s'agit d'un homme social - métier oblige - et avenant. Après tout, n'est pas commerçant celui qui ne peut sourire et prêter attention aux détails de ses potentiels clients. On peut d'ailleurs remarquer que, parfois, son oeil acéré analyse et décortique chaque geste, mimique et autres tics de la personne qu'il tient face à lui. Ses années d'expérience lui ont valu de pouvoir remarquer certains codes applicables de manière générale aux différents êtres humanoïdes. On peut donc dire de lui qu'il est probablement un fin observateur.
À l'entendre parler, on sent l'expérience qui se cache derrière ses mots, que certains pourraient peut-être qualifier de sagesse. Il a souvent cette tendance à l'introspection et à la réflexion.

Il n'a toutefois pas que des bons côtés, et dans ses yeux ne se lisent pas que la fine lance de l'analyse. Un reflet de mélancolie et de tristesse profonde semble parfois l'habiter, comme si la vie le rendait las. Rien ne semble pourtant y indiquer de raisons particulières, c'est comme si une chape le recouvrait soudainement. L'air grave et profond qu'il peut parfois avoir semble indiquer que toutes les questions et réponses apportés par son esprit ne sont pas toujours pour le satisfaire.  



Histoire
Natif d'un petit village entre Katenka et la frontière de Guilhem. Un peu perdu entre deux monts, le village profitait de connaissant élémentaire dans la technologie tel que l'électricité, l'eau courante ou le chauffage mais les conditions climatiques particulières, sa proximité avec la frontière et le fait que peu d'habitants y vivent ne contribua pas à faire en sorte que le futur et son incroyable technologie vienne frapper à leur porte. En effet, ce village datait d'avant la faille ainsi les quelques avantages dont jouissaient les habitants leur suffisaient déjà amplement.
Percival y vécu avec ses parents jusqu'au moment où il partit étudier. Tout deux étaient des marchands, son père brocanteur et sa mère vendeuse de tissus. C'est en étant plongé dans ce milieu que vint son envie au jeune garçon de faire de même. Toutefois, son pater, Énestros Azarov, voulut qu'il entreprit de véritables études avant de reprendre l'une des boutiques familiales. Ainsi passa donc son enfance, entre les fichus et les étoffes d'Anaëlle sa mère et le bric-à-brac de son père. C'est au milieu de tout cela que se fit le début de son éducation, avec le récit de voyageurs venant apporter des objets étranges et à la lecture de livres qui n'étaient peut-être pas toujours adapté à son âge. Lire était et reste toujours l'une de ses activités favorites.

Arrivé à Guilhem fut un choc pour l'adolescent de seize ans qu'il était alors. Étant certes quelques peu habitué à la technologie, il ne s'attendait pas à tant de choses étranges et nouvelles. C'est au moment d'aller s'inscrire, au départ en temps que simple apprenti commerçant, qu'il découvrit ce qui devint sa classe : Artilleur.
Alors qu'il se rendait au bureau d'inscription, il croisa des élèves qui semblaient arpenter les couloirs depuis quelques années déjà. L'un d'eux portait une arme à feu comme il n'en avait encore jamais vu, et leur vêtement, leur manière de se tenir, tout chez eux l'impressionnèrent au plus haut point. À un point tel qu'il s'était arrêté de marcher dans le couloir, réajustant ses lunettes, ses mains devenues moites. Il se remémora les rares fois où ce sentiment l'avait épris, montant dans son ventre jusqu'à sa gorge serrée. De l'admiration pure et dure. Cela lui arrivait parfois quand il tenait la boutique avec son père et que des Aventuriers vétérans entraient. Cela n'était pas arrivé plus de cinq fois en toute son existence, le patelin étant assez méconnu.
En tout cas, son état ne sembla pas passer inaperçu auprès de l'un des étudiants qui fit signe à ses comparses de continuer et rebroussa chemin.

- Hey, toi ! dit-il en agitant la main vers Percy. Celui-ci se retourna, ne comprenant pas que l'on s'adressait à lui. Mais non, pas le mur, toi là ! Le temps de se retourner et l'inconnu lui tenait déjà l'épaule avec un grand sourire.

- Ho... fut tout ce qu'il pu articuler, stupéfait des enjambées du jeune homme qui lui faisait face. Il prit le temps de le détailler un peu plus. Malgré le port de l'uniforme obligatoire, cet étudiant-là semblait faire son rebelle, pourtant une ceinture aux poches et aux sacoches mystérieuses. Il portait également un étrange bracelet en cuir avec de petits tubes en verre. Il avait des cheveux blancs avec d'étranges reflets bleutés. Résultat d'expérience ou trait de race, Percival n'aurait su le dire. L'étranger ne lui laissa pas le temps de poursuivre ses réflexions :

- Je t'ai vu nous regarder, tu viens t'inscrire ? Il lui laissa à peine le temps d'hocher la tête que son sourire s'agrandit, Alors tu viens rejoindre les Artilleurs, c'est ça ? Au froncement de sourcils du jeune campagnard, il crut comprendre que ce terme n'évoquait qu'un rare souvenir dû à une évocation lointaine et vite oubliée.

- Non, je viens pour m'inscrire dans... Sa phrase ne fut jamais terminée, son interlocuteur bondissant en arrière avec une mine effarée.

- Il faut que tu viennes avec moi tout de suite alors ! Nulle protestation ne fut recueillie, cet étrange étudiant semblant débordé d'enthousiasme l'emportant avec lui par la manche.

- A mais... Je dois aller m'inscrire en commerce, je n'ai pas l'intention de...

- Je m'appelle Loydd, tu peux m'appeler Loyd ! Il faut que je te montre les merveilles de la technologie, sinon tu risques de passer à côté de ta vie ! s'exclama-t-il sans prêter attention à ce que disait le timide Percival. Je vais te montrer mon labo, je suis en dernière année et mes résultats sont assez brillant que pour que je puisse avoir mon propre espace de travail.

A son passage, les gens s'écartaient avec un sourire aux lèvres, d'un air qui semblait dire qu'il n'était pas le seul élève à se faire kidnapper de cette manière. Les couloirs défilaient à une telle vitesse qu'après quelques tournants, le jeune Azarov aurait bien été incapable de s'y retrouver. Le trajet ne fut pas bien long, Loydd ouvrant une salle avec enthousiasme. L'ouverture de la porte révéla alors une pièce encombrée de tout côté, rendant la pièce étrange et hétéroclite. Des plans en parchemin cotoyaient des écrans en trois dimensions tandis que des pièces mécaniques jonchaient les tables de travail de toute part. Il y avait quelques assemblages sur chacune des trois tables, mais l'inventeur en herbe semblait travailler sur toute en même temps car toute étaient encore au stade de montage indéfinissable.
Loydd l'installa alors de force sur un tabouret tournant et se plaça au centre de la pièce, les bras grands ouverts, un sourire éclatant et les yeux pétillants de joie.

- Ici est mon sanctuaire, mortel ! Sa remarque sembla le faire sourire davantage encore si cela était ne fut-ce que possible. Commença alors l'après-midi le plus étrange et sûrement l'un des - si pas le - plus important de sa vie. L'inventeur lui parla de Science, de mécanique, de physique, de créations robotiques, des références qui trouvaient un vague écho dans l'esprit de Percival qui n'avait jamais rien vu de tel si ce n'est de rare fois dans des livres de passage. Lui se contenta d'écouter, de boire ces paroles et de profiter de cet enseignement inattendu.L'enthousiasme de Loydd semblait contagieux car au fur et à mesure de la conversation, un sourire commença à poindre sur le visage du futur inscrit.
Toutes ces choses dont il avait entendu parler, qu'il avait déjà pu voir, tout cela avait un sens, une raison, un moyen d'être. Tout le discours du futur scientifique trouva écho dans le coeur de l'adolescent. Ils discutèrent longuement des difficultés d'entreprendre ces études alors qu'il n'avait que de vagues notions, mais le cursus avait prévu cela ainsi il lui était possible d'effectuer une année transitoire. Loydd lui promit également toute son aide, et avoir un allié dans cet entreprise folle et inattendue l'aida à prendre sa décision. Ayant discuter plus que de raisons, le bureau d'inscription était fermé depuis longtemps lorsqu'ils se décidèrent enfin à quitter les lieux. Ne possédant que sa valise et comptant sur l'internat pour dormir, Percival se trouva bien embêter. Mais qu'à cela ne tienne, Loydd lui proposa avec enthousiasme - celui-ci ne semblait jamais le quitter - de venir dormir dans le dortoir où il était, un lit étant vacant pour cause de stage à l'étranger dans sa chambrée même. Bien que dubitatif et un peu inquiet - après tout il ne l'avait rencontré que l'après-midi même - le manque d'options et l'aspect bienveillant de son nouvel ami firent fondre ses doutes comme neige au soleil.
Le lendemain matin, à la première heure, Lloyd le réveilla avec entrain :
- Aller ! Il faut aller t'inscrire maintenant !

Prenant ses lunettes d'un air un peu gauche, le jeune Percival avait l'air moins enclin que la veille.

- C'est.. C'est vraiment génial tout ça, mais tu sais... Mes parents, ils m'ont envoyé ici pour le cursus de commerce, pas pour.. Pour bricoler des trucs
- Des trucs ?! Des trucs ! Comment peux-tu encore appeler ça ainsi après en avoir vu les merveilles ! Je suis sûr que si tu leur montrerais, il n'y aurait pas de problème !
Le futur étudiant eut une moue dubitative. Même en se présentant avec mille et une merveilles, il n'était pas certains que ses parents comprennent vraiment. Pour eux comme pour lui la veille, cela relevait davantage de l'imaginaire et de la magie. Outre les légères installations électriques, son village ne connaissait pas grand chose de tout ça. Puis... Il devait reprendre la boutique de son père, ou de sa mère. Il hocha la tête de gauche à droite, attristé.
- Je ne peux vraiment pas.. Désolé...
Il assembla ses affaires en silence, laissant Loyd lui exposer d'autres raisons et excuses pour le faire rejoindre le cursus. S'agitant autour du jeune giulhemien, il n'avait pas l'air de comprendre le pourquoi d'un tel revirement. Où était passé les étoiles qui brillaient au fonds des yeux de son nouvel ami la veille encore ?
 



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Percival Azarov, marchand professionnel

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